La conscience des patrimoines culturels est moins prégnante chez les habitants de la Phou Hin Poun que l’importance accordée à la nature, espace de ressources. Cet état de fait attribuable aux déplacements des populations durant le XXème siècle, surtout après la Seconde Guerre Mondiale et la guerre qui a enflammé la péninsule indochinoise. A l’évocation des patrimoines, les habitants envisagent davantage ces lieux et espaces en tant qu’espaces de visites pour le tourisme.